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Parle-leur de Bataille, de rois et d’éléphants de M.ENARD


13 mai 1506 un certain Michelangelo BUONAROTTI, inconnu des orientaux débarque pour la première fois à Constantinople.


Suite à l’invitation du Sultan de l’époque qui lui confère la construction un des ponts qui habille Istanbul aujourd’hui, un projet retiré auparavant à Léonard De Vinci. En répondant oui à ce dernier l’artiste florentin laissa tomber le pape Jule II pour qui il avait comme mission de dessinait le tombeau qui l’accueillerait à sa mort.


Dès lors un réel conflit surgi entre les deux empires, l’artiste se voit prit dans un torrent d’émotions ; entre ambition artistique, lyrisme intime et le manque de reconnaissance vis-à-vis des puissants qui l’emploient.


Constantinople : cité régit entre Orient et Occident.


Au-delà, d’une ébauche d’un pont par le génie de la chapelle Sixtine ; vous êtes face à une rencontre d’un artiste de la renaissance et la beauté du monde Ottoman et cela par le biais d’une plume à la fois envoûtante et poétique.


Le récit dresse un portait d’une cité aux allures des mille et une nuit, une cité fortement imprégnée d’une culture occidentale.


Un pont qui illumine aujourd’hui l’âme d’Istanbul, une ville dont l’édifice au bord du Bosphore expose sa tolérance, son cosmopolitisme ainsi que son alliance entre l’Orient et l’Occident.

Vous l’aurez bien compris, à la lueur d’un édifice Parle-leur de Batailles, de rois et d’éléphants de Mathias ENARD dresse un récit mêlant romance, poésie, histoire, art, présent, passé, douceur et humanité, qui vous fera vous balader dans les échoppes, les tavernes avec leurs danseuses orientales ou poésie et musique sont à l’honneur.


Un livre capable de bâtir des ponts entre Orient et Occident.


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